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.Comment les aliments agissent sur le comportement, le caractère et la santé

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Depuis longtemps les nutritionnistes et physiologistes ont découvert le rôle des vitamines dans le corps humain. Mais c'est surtout l'étude des carences qui a permis ces acquisitions. Depuis quelques années le rôle des oligo-élé­ments métalliques est à l'honneur mais c'est encore dans ses effets de carence que l'on a dirigé les recherches. Seules les connaissances endocriniennes et la pratique d'une ali­mentation saine permettent une approche positive des véri­tables besoins de l'organisme en divers micro-éléments et métabolites énergétiques qui assurent une bonne santé à nos moindres organes.


Si l'on s'efforce de considérer les phénomènes humains sous un angle synthétique, on en arrive presque toujours à établir des ensembles, des groupes qui s'or­donnent les uns aux autres. L'in­telligence doit s'efforcer d'organi­ser et d'ordonner les connaissan­ces en découvrant peu à peu des liens insoupçonnés entre divers savoirs hiérarchisés qui n'ont pas la même valeur mais répondent à un ordre et s'inscrivent dans une totalité.


Ce préambule veut-il justifier le rapport, pourtant lointain, en apparence, entre ce qu'on mange et notre intelligence ou notre ca­ractère ? En effet, officiellement on en vient maintenant à conce­voir que la qualité de l'alimenta­tion joue un rôle très important sinon déterminant sur nos diver­ses facultés. On l'admet de plus en plus car l'observation, la ré­flexion et diverses études mon­trent l'impact alimentaire sur le fonctionnement de nos organes dont dépend notre vigueur phy­siologique, somatique et cérébra­le. Car si nos organes ont un heu­reux fonctionnement, notre en­semble psychique reflétera évi­demment cette santé florissante qui émane d'un bon équilibre neuro-endocrinien.


Or, les glandes puisent leur énergie dans nos aliments. Se nourrir sans discernement c'est préparer très soigneusement une mauvaise santé générale qui ne manquera pas de se montrer tôt ou tard. L'on ne transgresse pas impunément les lois de la santé qui passent nécessairement par l'apport énergétique d'une ali­mentation équilibrée, saine, atoxique, vitalisante... Multiplier à longueur de jours et de mois les ingestions d'aliments frelatés, chi­miques, dévitalisés, carnés, oblige le foie à neutraliser sans trêve les toxines et les purines, force le pancréas à freiner les excès de sucre, contraint les reins à élimi­ner l'acide urique et divers mé­tabolites qui finissent par le fati­guer, le léser ou le cancériser.


Ceci est le côté négatif qu'une mauvaise alimentation produit dans l'organisme carencé. Mais le côté positif qu'une saine alimen­tation apporte à un organisme vi­talisé, revigoré, en pleine posses­sion de toutes ses fonctions, mé­rite toute notre attention et jus­tifie des recherches très approfon­dies dans le contexte universi­taire.


Or si l'on sait empiriquement et par le simple bon sens qu'une saine alimentation procure une excellente santé, l'on ne sait guère scientifiquement comment la qualité et la valeur des aliments que nous ingérons ont des effets précis, quasi mesurables, sur la marche des divers organes, leur qualité fonctionnelle, leur résistance aux stress, leurs syner­gies, leur harmonie, etc. On le sait moins car, officiellement, on n'enseigne pas l'action des ali­ments sur l'organisme alors que, là réside le secret de la santé. Et une bonne santé passe avant tout par un bon fonctionnement de nos diverses glandes qui comman­dent tous nos ensembles fonc­tionnels.

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Les glandes dirigent toutes les fonctions organiques

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De nombreuses recherches qu'il serait évidemment trop long de mentionner ici, ont déterminé l'importance primordiale de nos glandes endocrines dans la direc­tion des fonctions organiques et des humeurs, dans la qualité du sang, des tissus, dans le fonction­nement du tractus génital, dans la croissance, l'oxydation cellulai­re et jusque dans les processus psychiques... Le cerveau n'est-il pas un organe sous l'influence des glandes au même titre que les autres organes ?


En dépit de cette détermina­tion et contre toute évidence. les officiels sont restés braqués sur la primauté du système nerveux dans nos diverses fonctions, dé­clarant que malgré leur impor­tance et leur nécessité dans les divers processus vitaux, nos glan­des restent les fidèles vassales du système nerveux central et péri­phérique qui a toujours le der­nier mot. Le cerveau ne se trouve-t-il pas à la tête, au poste de direction ? En prenant deux exem­ples, voici l'explication globale et schématique de cette erreur mo­numentale : si l'on introduit une micro-électrode dans certaines aires diencéphaliques ou hypothalamiques, on détermine chez le chat des comportements émo­tifs ou de rut. avec, même, obten­tion d'ovulation chez la lapine. Depuis près de 60 ans que l'on poursuit ce genre de recherches, avec des moyens de plus en plus efficaces, les chercheurs ont fini par acquérir la certitude expéri­mentale, renforcée par l'a priori de la toute-puissance nerveuse, que les centres nerveux centraux dirigeaient et régulaient à l'évi­dence tous nos comporte­ments (1).


Qu'est-ce à dire ? En fait, ces aires cérébrales ne sont que des aires d'enregistrement d'activités physiologiques d'origine pure­ment endocrinienne ; il suffit d'effectuer une ablation thyroï­dienne à une jeune chatte, juste avant qu'elle n'ait enregistré neuro-cérébralement ses compor­tements, pour rendre ses centres nerveux diencéphaliques ou hypothalamiques totalement inopé­rants. Le même problème se pose pour les recherches sur les centres de la faim où les chercheurs ont pu "déterminer" l'hyperphagie (1bis) chez le rat par destruction des noyaux medio-ventraux de l'hypothalamus tandis que l'aire latérale détermine l'aphagie.

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Mais les chercheurs eux-mêmes, malgré la clarté apparente d'une telle détermination se refusent à admettre un centre de la faim circonscrit car , disent-ils, diverses stimulations (électriques et par micro-électrodes) interdisent de le penser... Et tout à l'avenant car la totalité des expériences sur les centres nerveux et le cerveau en vue de percer l'énigme du comportement animal et humain par inférence, sont entachées des mêmes inconvénients.

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Et pour montrer combien la science manque de synthèse dans la recherche effrénée du mécanisme des enregistrements et des réflexes conditionnés, les chercheurs reconnaissent qu'on ne peut acquérir d'automatisme sans thyroïde. Car "l'ablation de la thyroïde chez les animaux empêche la formation des réflexes conditionnels. Les maladies de cette glande chez l'homme affaiblissent la mémoire d'acquisition"(2)

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Cette digression étant faite, l'importance des glandes est évidemment loin d'être niée actuellement. Sans polémiquer à propos de leur préséance sur le système nerveux ou leur subordination, l'on sait que les glandes informent et dirigent toute l'économie fonctionnelle et par conséquent déterminent notre santé qui se résume dans le bon fonctionnement de la totalité de nos organes.

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Les vitamines, l'essence d'un moteur qu'est le système glandulaire

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Pour que les glandes maintien­nent parfaitement leurs fonctions synergétiques, ainsi que leur pro­duction d'hormones, elles deman­dent nécessairement l'apport des divers micro-éléments énergéti­ques que sont les vitamines (5), les métaux et métalloïdes, les diastases, oligo-éléments absolu­ment requis pour chaque glande particulière. Si l'on en vient à se mal nourrir comme c'est le cas extrêmement répandu, un mo­ment vient où des carences se font jour et telle glande cesse son heu­reux fonctionnement, puis telle autre ; les synergies glandulaires finissent par être atteintes : une carence glandulaire en entraîne une autre qui se reporte sur une autre, etc.


L'équilibre glandulaire se dé­truit peu à peu et le sujet se plaint de maux qui peuvent être encore plus nombreux que le nombre même de ses organes car les carences se combinent entre elles pour en produire d'autres et ainsi de suite. Seule, une alimen­tation saine, équilibrée, pallie l'inconvénient de telles éventuali­tés. La médecine substitutive des organes lésés et taris dans leurs sécrétions ne peut rien sans réta­blir laborieusement l'équilibre dé­truit, ce qu'elle ne fait pas. Presque toujours cet équilibre se re­trouve avec un retour à l'alimen­tation saine sauf si le déséquili­bre est vraiment trop profond auquel cas il faut aider directe­ment la rééquilibration glandulai­re. Passons en revue les glandes et leurs divers besoins :

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  • La Thyroïde a besoin de vita­mines B et C, et d'iode — l'iode se trouve dans le sel marin non raffiné, céréales complètes, hari­cots verts, chou, carottes, ana­nas, etc. Manger une bonne tran­che d'ananas le soir prédispose a un excellent sommeil car la thy­roïde est facilitée dans son hypo-fonction et amène ainsi le som­meil, malgré une certaine pro­portion de vitamine C.

  • L'Hypophyse a besoin de vita­mines B. C, E, de jasnione et de manganèse qui se trouve dans les céréales complètes, fruits sees (noix, arachides, amandes, noiset­tes) , épinards, betteraves, laitue, oignon et presque tous les fruits-La jasnione se trouve dans l'essen­ce de jasmin l3l.

  • La glande génitale a besoin des vitamines A, B, C, E, de fer, de cuivre et d'un acide aminé, l'arginine. Cette arginine indispensa­ble à la glande génitale se trouve dans le blé et le riz complets et la levure alimentaire.

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Des vitamines plus spécifiques...

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La vitamine A est anti­-infectieuse. Elle possède une certaine efficacité dans les maladies de l'œil; des pou­mons, du sinus et de la peau. Elle se trouve dans les ali­ments jaunes et colorés (ca­rottes). C'est une des raisons pour laquelle la glande géni­tale qui a besoin de vitami­ne A, joue un grand rôle dans la lutte anti-infectieuse et le maintien de l'intégrité glandu­laire. La génitale soutient la thyroïde avec son métabolis­me iodé dans la lutte anti­-infectieuse.
Si le couple génitale-thyroï­de est perturbé, la surrénale qui a aussi un rôle anti­-infectieux, s'en trouve atteinte ou bien, par compensation, peut exacerber sa sécrétion, pouvant amener théorique­ment une certaine lutte anti­-infectieuse mais avec les inconvénients d'une hypersé­crétion surrénalienne : tension artérielle, fatigue cardiaque, insensibilité affective, tendan­ce à la colère, méchanceté. De toute façon une bonne et durable immunité réclame l'équilibre glandulaire.


La vitamine B, antinévropathique est nécessaire dans les maladies gastro-intesti­nales, les névralgies, la névri­te et la constipation ; comme l'on sait, l'absence de cette vitamine (pain blanc) favorise les ennuis intestinaux et la constipation. C'est la glande thyroïde qui se débilite peu à peu lorsqu'une carence en vi­tamine B se manifeste mais aussi le pancréas (d'où la ten­dance au diabète), ainsi que l'hypophyse. De même pour la vitamine C antiscorbutique qui maintient la bonne santé des os et des dents. Elle se trouve dans les légumes alca­lins, les citrons, oranges, pam­plemousses. La vitamine C agit sur la thyroïde en l'exci­tant, d'où son succès dans les états grippaux et infectieux. Pour cette raison, il est mieux de s'abstenir de fruits acides tels que oranges ou citrons le soir avant de se coucher sous peine d'avoir du mal à s'endormir.


Quant à la vitamine D, elle règle le métabolisme des mi­néraux, les éléments de for­mation des os, le calcium et les phosphates. Ce sont donc les glandes parathyroïdes qui revendiquent ce besoin car ce sont ces quatre petites glan­des qui dirigent ce métabo­lisme.


Enfin la vitamine E favorise la glande génitale et donc les fonctions reproductrice et interstitielle. Voilà pourquoi Carrel fustigeait l'absorption régulière de pain blanc, qu'il accusait de conduire l'Occi­dent à la dégénérescence et à l'impuissance sexuelle, voir à l'homosexualité.

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Comment les aliments agissent sur le comportement

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Étant donné le rôle essentiel que joue la glande génitale et surtout l'interstitielle dans l'équilibre glandulaire, il est évident que l'ingestion de pain blanc à longueur d'année favorise particulièrement la carence de vitamine E et B, surtout si l'on ne fait pas attention à la compenser par d'autres apports alimentaires.

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  • Les parathyroïdes ont besoin de l'apport de vitamine D, de calcium et de magnésium. L'alimentation végétale sans usage de lait, apporte assez de calcium pourvu que l'on utilise régulièrement : choux, navets, radis, crus ou cuits à l'étouffée, pruneaux, amandes, figues sèches, betteraves, oignons, céréales complètes. Quant au magnésium, on le trouve dans les fruits secs oléagineux, le blé, les figues sèches, les dattes, les châtaignes, les pruneaux, les raisins secs et les fruits frais en général ainsi que dans les parties vertes des plantes (épinards, laitues, choux, etc.)

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  • Le thymus demande de la vitamine B et du magnésium, le pancréas, également de la vitamine B mais aussi du soufre, nickel, un acide aminé, la cystine et de l'acide glutamique. Le soufre se trouve dans les crucifères, les céréales complètes, les fruits secs oléagineux et quelques fruits (pêche, datte) Le nickel se trouve dans les girolles, les choux, les épinards, la laitue, la figue, le sarasin, le blé, les haricots verts, les carottes et les fruits frais en général. Quant à l'acide glutamique, on le trouve principalement dans le blé, le riz complet et la levure alimentaire.

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Le corps humain : une grande mine de métaux :

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Mais c'est au docteur Jacques Ménétrier que revient le mérite des importantes recherches sur les oligo-éléments et sur les régulations catalytiques des métaux. Lorsqu'il montre l'importance des divers métaux et métalloïdes dans l'accomplissement heureux de nos moindres fonctions organiques et endocrines, il insiste plus sur les déficiences d'équilibres régulateurs et catalytiques que sur les effets de correction de carences. Les carences, certes existent et sont redoutables car elles délabrent la santé, surtout les carences vitaminiques ; mais pour Ménétrier, les perturbations en oligo-éléments métalliques, proviennent surtout du déséquilibre des régulations catalytiques de pH de certaines erreurs synergiques imputables aussi à une mauvaise alimentation. Et ce déséquilibre métallique peut être évidemment corrigé par une alimentation saine et équilibrée qui comble les carences et régularise les fonctions.


Les enzymes qui jouent un si grand rôle dans les processus biologiques et cellulaires régularisent les fonctions métaboliques et endocriniennes. Il faut savoir, comme l'ont démontré G. Bertrand et Willstatter que certains enzymes sont des protéines supportant des oligo-éléments dits de transition et dont l'activité dépend du pH. Ces enzymes, avec l'aide des catalyseurs métalliques dont l'apport ne doit pas manquer ni les régulations être déficientes, conditionnent toutes les activités hormonales.


On voit donc les fines conditions qui doivent être rassemblées pour une parfaite activité de nos fonctions puisque le pH c'est à dire le degré d'acidité ou d'alcalinité de nos humeurs, détermine l'action de certains oligo-éléments. Le Manganèse semble avoir un rapport direct avec les phénomènes d'oxydation et le Cuivre avec l'hydrogénation. Or deux glandes sont impliquées dans ces processus : la thyroïde, principalement pour l'oxydation, et la surrénale. D'où l'importance de ces métaux pour ces deux glandes anti-infectieuses par excellence. Or l'apport catalytique de cuivre rétablit souverainement les états infectieux.


Le Manganèse joue aussi un rôle au niveau du foie (phosphorylation oxydative) ; il est nécessaire à la synthèse de l'hémoglobine et très important pour métaboliser le glucose et les lipides. Le Manganèse intervient au niveau de la génitale dans les fonctions de reproduction et de lactation. Enfin, il augmente la formation d'antitoxines chez l'animal infecté.


Le Cuivre est essentiel à la formation du sang. Il a des relations endocriniennes avec l'hypophyse, les glandes génitales et surtout la thyroïde. Il est excitant de la déficience hépatique. Le cuivre serait un régulateur essentiel du dysfonctionnement surrénalien.


Le Cobalt a un rôle sur le sang (formation d'érythrocytes). Le pancréas est riche en cobalt et ce métale semble bien avoir des rapports avec l'insuline et avec le zinc. Le cobalt possède un puissant effet vasodilatateur et hypotenseur. C'est donc un antagoniste de l'adrénaline, hormone surrénalienne.
Le Nickel a une action dans les états pancréatiques et hypophyso-pancréatiques.


Le Zinc est vital pour l'hypophyse. Le zinc pourrait jouer un rôle dans l'activité corticotrope, c'est à dire dans la formation des hormones hypophysaires stimulantes de la cortico-surrénale. On trouve du zinc en grande quantité dans la prostate et l'utérus. Le zinc a un rapport étroit avec l'insuline puisque sa sécrétion semble dépendre de la teneur en zinc des cellules Bêta des îlots de Languerans (pancréas). Il intervient aussi dans l'équilibre acido-basique et le métabolisme du calcium.


Quant à l'iode, ses rapports sont depuis longtemps démontrés avec le corps thyroïde.
 

Le soufre agit sur le foie et agit synergiquement avec le manganèse.
 

Le phosphore agit sur les troubles parathyroïdiens où ce métalloïde paraît un régulateur des fonctions métaboliques du calcium ou de l'équilibre phospho-calcique.
 

Le Brome est présent dans la thyroïde aux côtés de l'Iode, et aussi dans l'hypophyse à concentrations assez fortes. Il semble que le Brome agisse comme sédatif et modérateur de la thyroïde puisque les sels de Brome ralentissent l'activité sexuelle dont on sait (Docteur Gautier), le rapport étroit avec

l'activité thyroïdienne.
 

Le Silicium est un stabilisateur général, donc agit comme un équilibrant de tout le système endocrinien.
 

L'aluminium augmente la vitalité cérébrale et est un bon régulateur du sommeil. L'aliminium agit efficacement dans la fixation des hormones thyroïdiennes sur le tissu nerveux d'où une plus grande efficacité intellectuelle.
 

Le Magnésium dont on sait toute l'importance depuis les travaux de Delbet, est un puissant anti-infectieux, vitalise la cellule nerveuse et agit dans tous les états de vieillissement organique, d'urémie et de dégénérescence.
 

Le Potassium agit sur la diurèse, sur les altérations osseuses et le tonus organique.
 

Le Lithium apparaît comme un régulateur thyroïdien et surrénalien puisqu'il lutte contre les états dépressifs et hypomaniaques.
 

Le Fer est bien connu dans les syndromes anémiques et les carences.
 

Le Sélénium a une relation avec le métabolisme de la vitamine E et agit donc indirectement sur les glandes génitale et hypophyse.
 

Le Chrome est essentiel au métabolisme des lipides et des glucides : il potentialise l'insuline. Le déficit en chrome est un facteur d'athérosclérose (bouchage des artères par excès de graisse). Enfin, le Bore est diurétique et combat l'obésité.
 

Bien d'autres "éléments-traces" ont une action physiologique certaine mais nous avons passé en revue les plus marquants.
 

Ainsi l'adage "nous sommes ce que nous mangeons" est-il pleinement justifié. Car c'est essentiellement l'alimentation qui apporte tous les matériaux qui fourniront l'énergie nécessaire au bon fonctionnement de notre organisme. Mais pas n'importe quelle alimentation : une alimentation non carencée, bien équilibrée, saine et dont les produits étudiés très soigneusement recouvrent l'ensemble des besoins de l'organisme.

(1) Les glandes endocrines et le problème psychosomatique. Jean du Chazaud (manuscrit) ; (1bis) besoin incessant de manger ; (2)P.Guillaume, Manuel de psychologie, P.U.F. (3) "La Vie Claire" fait confectionner un confit de fleurs de jasmin (4)Dernières et nouvelles connaissances sur l'Homme - L'enfant, ce glandulaire inconnu - Les glandes, beauté et charme de la femme (C.E.V.I.C.) Docteur Jean Gautier (5) Tu vivras cent ans, H-Ch. Geffroy, C.E.V.I.C., ed.

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Jean du CHAZAUD. La vie claire Décembre 1978

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