Qu'est-ce que l'endocrino-psychologie ?
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L'Endocrino-psychologie est une discipline élaborée par Jean du Chazaud d'après les travaux du Docteur Jean Gautier. Le Docteur Gautier a montré que l'unité psychologique et morale d'un individu est fonction de la qualité et de l'équilibre de son fonctionnement glandulaire endocrinien. Il a démontré la prédominance absolue des glandes sur le système nerveux et le cerveau : les substances hormonales, prodigieusement énergétiques, sont à la base même du fonctionnement de l'homme : le système endocrinien permet la liaison, l'information, l'exécution des mécanismes de l'organisme humain.
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Jean du Chazaud, héritier des travaux du docteur Gautier et fondateur de l'endocrino-psychologie a mis au point avec un partenaire français : le système Equilios®. Ce système crée une résonance électromagnétique générale, variable pour chaque individu, fonction de sa propre fréquence magnétique individuelle. Ces courants agissent remarquablement sur l'équilibre endocrinien en réalisant le schéma suivant : les glandes paresseuses sont stimulées tandis que les glandes les plus actives sont modérées, d'où équilibration et amélioration de l'état général.
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Qu'est-ce que l'endocrino-psychologie ?
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L'Endocrino-psychologie est une discipline élaborée par Jean du Chazaud d'après les travaux du Docteur Jean Gautier. Le Docteur Gautier a montré que l'unité psychologique et morale d'un individu est fonction de la qualité et de l'équilibre de son fonctionnement glandulaire endocrinien. Il a démontré la prédominance absolue des glandes sur le système nerveux et le cerveau : les substances hormonales, prodigieusement énergétiques, sont à la base même du fonctionnement de l'homme : le système endocrinien permet la liaison, l'information, l'exécution des mécanismes de l'organisme humain.
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Jean du Chazaud, héritier des travaux du docteur Gautier et fondateur de l'endocrino-psychologie a mis au point avec un partenaire français : le système Equilios®. Ce système crée une résonance électromagnétique générale, variable pour chaque individu, fonction de sa propre fréquence magnétique individuelle. Ces courants agissent remarquablement sur l'équilibre endocrinien en réalisant le schéma suivant : les glandes paresseuses sont stimulées tandis que les glandes les plus actives sont modérées, d'où équilibration et amélioration de l'état général.
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Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes
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Béatrice LAHOUSE
33000 Bordeaux
06 18 76 42 03
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Christine ARTIGA
5 rue Paul Bert 24100 Bergerac
06 82 83 06 52
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Isabelle PELLETIER-FREDON
81 rue grande 79200 Parthenay
06 47 03 84 12
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Jean du CHAZAUD
La Grande Courre Cumond
24410 Saint-Privat-en-Perigord
06 23 16 57 16
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Pascal CHEYROU
6 rue Dussaut 33150 Cenon
06 86 04 33 74
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Roselyne LEMOINE-DION
La veyssière 87380 Château-Chervix
05 55 06 32 66
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Sylvie Hermine MANSUY
40 avenue de Livourne 33870 Vayres
06 11 68 95 29

Endocrino Psychologie
Les races existent-elles ?
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L'idée de race est très ancienne. Peu à peu on avait fini par entériner ou confirmer cette notion soigneusement entretenue et appuyée par le sens commun, les apparences ou même les traditions. Ainsi les artistes Egyptiens qui décorèrent les tombes royales de Thèbes à la 18e dynastie distinguaient : les Egyptiens qu'ils peignaient en rouge, les Asiatiques (Sémites) qu'ils peignaient en jaune, les Méridionaux (noirs) et les Occidentaux (blancs).
Deniker n'a-t-il pas distingué jusqu'à 29 races différentes et une dizaine de sous-races ?
Mais ce problème de la race est autrement complexe que le laissent supposer la diversité morphologique ou la couleur de la peau. Les anthropologues ont peu à peu acquis la certitude que la discrimination raciale ne peut être fondée scientifiquement, biologiquement. Il y a quelques années d'éminents savants rassemblés sous l'égide de l'Unesco concluaient définitivement « qu'il ne pouvait y avoir de justification biologique aux discriminations sociales ». Et finalement la notion de race reposerait sur un « mythe social ».
Il est cependant un peu simple de dire que la race provient de critères sociaux alors que les hommes ont de tout temps remarqué entre eux tant de diversité extérieure. Si les savants de l'Unesco ont radicalement éliminé une existence scientifique de la race, ils ne pouvaient expliquer pourquoi il existait ces différences dites « raciales ».
En réalité la « race » ne provient que d'un phénomène d'adaptation. Il ne s'agit donc pas de race. Pour le docteur Gautier, il est absolument évident que nos fonctionnements physiologiques glandulaires sont seuls responsables des diversités morphologiques et de couleur de peau. Le corps s'adapte pour vivre sous tous les climats. Les phénomènes héréditaires sont parfaitement incapables de maintenir longtemps des particularités physiques à l'encontre des forces climatériques. C'est la nourriture, le genre de vie et le climat qui imposent à l'organisme de s'adapter correctement pour maintenir intactes les constantes vitales et les caractéristiques fonctionnelles de l'espèce humaine : température, rythme cardiaque et respiratoire, métabolique, etc. Plusieurs faits le prouvent : on peut modifier des chiens par des extraits glandulaires : levrettes, basset, dogue de Bordeaux, danois. On peut modifier la croissance de l'enfant par l'opothérapie : taille, morphologie, phanères, aptitudes intellectuelles et physiques.
Nous retrouvons des preuves certaines des fonctionnements glandulaires dans les particularités « raciales ». La taille varie selon la glande prédominante. Les hypophysaires sont les plus grands (1,80 m), ensuite les thyroïdiens (1,75 m), les surrénaliens (1,70 m), les génitaux (1,65 m). A chaque glande correspond des formes de tête : allongée et massive chez les hypophysaires ; très allongée chez les thyroïdiens ; courte et massive chez les surrénaliens ; moyenne et arrondie chez les génitaux. L'extrait thyroïdien blanchit les plumes des poules, particularité héréditaire (Sainton et Simonnet). La sécrétion mélanodermique de l'hypophyse injectée à une grenouille la colore en noir en 24 heures. Nous connaissons tous la mèche et les cheveux blancs des hyperthyroïdiens. On a remarqué qu'un grand effort prolongé brunissait la peau par hypersurrénalisme. L'hypophyse peut donc amener une couleur noire de la peau, la surrénale un brun bleuâtre, la génitale un brun-rougeâtre.
Le régime glandulaire influence aussi la forme du visage, la longueur des membres, la morphologie musculaire, celle des mains et des pieds, des dents, la constitution des poils, la forme des yeux, leur grandeur, leur brillance résultent de nos fonctionnements glandulaires. Ces constatations font penser que la « race » est la conséquence des fonctionnements correspondant à une adaptation aux conditions d'existence.
Ces interprétations ont permis à Jean Gautier d'identifier des peuplades comme les Pygmées qui ont tant intrigué les anthropologues. Ce sont des hypoglandulaires qui s'apparentent aux myxœdémateux dont ils présentent presque toutes les particularités : taille, longueur du buste, tête massive, et sans expression, yeux petits à demi fermés, ombilic ressorti... En revanche, les Boshimans sont des hypophysaires très nets.
Dès 1919, Keith pensait que les Mongols étaient des hypothyroïdiens. Des recherches ont montré que le poids moyen de la thyroïde chez les Japonais serait de 13,8 g contre 39,4 chez les Européens. L'histologie montre que la thyroïde du Mongol adulte présentait l'aspect d'une thyroïde d'embryon européen et était remarquable par ses caractères primitifs. Un chercheur Américain, Bénédict, montra chez des Chinoises un métabolisme inférieur de 9 % à celui des Américaines, résultat qui aurait été retrouvé chez d'autres auteurs. M. Fontaine conclut que ces recherches convergeaient en faveur d'une hypothyroïdie des jaunes asiatiques.
« Beaucoup, écrit Gautier, pensent que les Chinois sont jaunes à cause de leur origine raciale. Le docteur Legendre qui a parcouru la Chine dans tous les sens a écrit : « Dans les villages, dans les plus grandes profondeurs de la Chine, j'ai vu des blancs très purs, des négritos très nets, et, entre eux tous les métis que l'on peut supposer ».
La coloration jaune (1) des asiatiques est due à un manque d'oxydation qui ne parvient pas à détruire les 5 milliards de globules rouges qui meurent chaque jour ; il en résulte une certaine quantité de composés organiques ferriques non réduits d'où la coloration jaune plus ou moins marquée. Celle-ci, est due au genre d'alimentation comportant beaucoup de produits fermentés ou conservés comme la viande de chien, de porc et le poisson tandis que la manipulation continuelle d'excréments humains les prédisposent aux infections hépatiques qui sont chez nous cause de jaunisse.
Les hommes qui vivent dans les pays froids ont un métabolisme basal supérieur aux autres hommes, c'est le cas des Esquimaux. La thyroïde doit s'activer pour réchauffer le corps, donnant ainsi une forte tendance thyroïdienne (nordiques). Le sujet est grand, longiligne, les muscles longs, la tête allongée et surtout ovalaire, les mains et les pieds lancéolés, les poils sont fins et poussent rapidement, la peau est à grain fin, le derme est peu chargé de graisse.
Puisqu'on sait que la thyroxine blanchit les phanères et éclaircit la peau, il est normal de penser que les thyroïdiens et surtout les habitants des pays froids soient blonds, aient les yeux bleus, les cheveux longs, soyeux, généralement lisses et peu ondulés.
Quant aux noirs ils habitent les régions chaudes et leur couleur provient de l'hypophyse. Pour lutter contre la chaleur, la thyroïde ralentit son activité. Pour suppléer à cette carence thyroïdienne qui serait préjudiciable (myxœdème) l'hypophyse s'active grandement dans les pays très chauds et très secs. Cette activité glandulaire s'accompagne d'une taille élevée et d'une coloration noire due à une hormone mélanodermique. Cette couleur noire protège des rayons ultra-violets.
Il est facile de voir que tous ces phénomènes physiologiques d'adaptation ne peuvent justifier la notion de race. Il n'existe pas de « races » humaines. Il serait cependant vain d'imaginer que ces différentes adaptations n'aient pas d'incidence particulière sur les différentes aptitudes physiques et intellectuelles. C'est une autre question.
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Jean du CHAZAUD. La vie claire Juin 1978
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(1) Dernières et nouvelles connaissances sur l'homme (CEVIC, éd.).
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