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Sexualité et loi naturelle

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La sexualité est un sujet qui a fait couleur beaucoup d'encre à notre époque moderne. Freud a beaucoup contribué à lever les tabous concernant cette question dont on parle à présent très ouvertement. Mais une libération des mœurs, un « exit » des tabous n'ont jamais été des ga­ges de génie et si on a beaucoup écrit sur la sexualité, on ne nous a guère fait connaître ce qu'elle est vraiment. Nous ne limiterons pas notre propos à la seule question de la reproduction, bien connue et sans grand intérêt humain. Mais la se­xualité met en fonction des glandes dont le rôle sur la personnalité est tout à fait important.

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Philosophie et loi naturelle

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La sexualité est ce qui touche aux organes et aux phénomènes de re­production, mais aussi à ses contours psychophysiologiques. La sexualité implique aussi une com­munication, un rapport dans la me­sure où sa finalité immédiate est la génération d'un semblable à soi, où il faut être deux. La sexualité exige donc un amour mais aussi une res­ponsabilité qui engage les individus à se rester fidèles afin de mener, à bien les conséquences de l'acte (l'enfant) qu'ils ont posé ensemble. Chez l'animal, la reproduction se réduit à une simple fonction ; c'est un instinct qui n'implique ni conscience ni responsabilité. Mais l'animal n'est pas l'homme et la li­berté chez ce dernier consiste à scrupuleusement respecter la « loi naturelle » tout comme la respecte — sans liberté — l'animal. Qu'est-ce que la loi naturelle ? c'est l'en­semble des « mécanismes » qui ré­gissent les esprits, les êtres et les choses dans une logique toute d'har­monie et de finalité : l'oeil est fait pour voir, l'oreille pour entendre, la graine pour grandir, le soleil pour éclairer et réchauffer, etc. Nous ne sommes pas libres d'échapper à ces lois : soit qu'elles nous contraignent physiquement, comme la pesanteur, soit qu'elles nous contraignent mo­ralement, auquel cas nous semblons pouvoir y échapper : Par exemple, je dois manger pour vivre et non pour jouir, aimer mon sem­blable pour lui-même et non par intérêt, concevoir un enfant pour qu'il naisse et non pour le supprimer s'il me gêne, etc. Si nous ne respectons pas les finalités internes, c'est-à-dire « ce pourquoi une chose est faite » selon les lois que le simple bon-sens nous dicte comme étant vraies, nous nous exposons à des en­nuis de tous ordres. En effet, le choix qu'exerce notre liberté doit toujours s'opérer dans le respect de ces lois d'harmonie interne : C'est ce qu'on appelle la loi naturelle. La différence entre l'homme et l'animal est que l'un a pouvoir de transgresser cette loi naturelle et non pas l'autre. La liberté consiste donc toujours — au moins — à ac­cepter pleinement et consciemment les conséquences d'un acte naturel qu'on pose. La liberté se trouve en­travée peu ou pas dès lors que nous l'utilisons contre cette loi naturelle, car nous risquons sinon d'en deve­nir les esclaves ; en effet, transgres­sée, la loi naturelle nous fait alors subir son joug et son exigence dont nous ne pouvons jamais nous dé­faire. La liberté nous fait nous y soumettre volontiers et harmonieu­sement tandis que sa transgression nous en montre toute la rigueur et l'implacable puissance. La loi natu­relle est bien la parfaite mesure de notre liberté.


Or la loi naturelle, c'est la loi de la vie, gage de notre bonne adapta­tion. C'est à force de se démarquer de cette loi que nous finissons par nous désadapter ; notre harmonie intérieure ne trouve en effet sa plé­nitude que dans le respect des « mé­canismes adaptatifs » dominés par la loi naturelle. Le non-respect de cette loi finit par rompre ces méca­nismes adaptatifs et nous conduit droit à la dépression. L'équilibre psycho-endocrinien ne trouve sa plénitude que dans le champ de cette loi naturelle qui possède bien un registre où elle doit s'exercer mais au-delà duquel nous nous désadaptons et nous faisons du mal à nous-même. Décidément, nous sommes vraiment liés par la loi na­turelle et notre liberté se trouve donc limitée par les bornes de cette loi ; notre liberté, somme tout, ne s'épanouit vraiment et pleinement qu'à l'intérieur même de cette loi.C'est notre limite mais c'est aussi notre grandeur car nous pouvons la choisir.

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Sexualité n'est pas génitalité

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Si nous connaissons mal la sexua­lité, c'est que nous n'avons jamais pu en avoir une vue synthétique. Les savants et sexologues n'ont considéré que les phénomènes de reproduction ou les phénomènes psychologiques qui les baignent. Ce sont encore les travaux du docteur Gautier qui viennent éclairer prodi­gieusement cette question. Il y fal­lait une très grande sagacité.


Dans notre glande génitale réside le plus important phénomène hu­main qui soit. L'avoir découvert nous éloigne fortement de la simple question sexuelle. Tout d'abord, la glande génitale se compose de deux entités et non pas une seule : des tissus reproducteurs d'une part et une glande endocrine d'autre part. On a pensé longtemps que la sécré­tion endocrine avait pour principal but la maturation de ces tissus reproducteurs considérés comme sa cible principale. L'avoir pensé et maintenu comme exact relevait d'un simplisme intellectuel que semblait confirmer la proximité anatomique des deux parties. Mais c'était large­ment sous-estimer les autres cibles car la sécrétion génitale agit sur l'ensemble du corps et bien avant le moment de la deuxième puberté comme d'ailleurs après l'âge mûr où n'a plus lieu la reproduction. La sexualité reproductrice n'était donc qu'un organe-cible au même titre qu'un autre. Nous savons que la glande reproductrice consiste à four­nir les cellules de la lignée germinale, spermatozoïdes chez l'homme et ovule chez la femme. Lors des rapports sexuels, un spermatozoïde vient féconder un ovule et les deux gamètes mélangent leur patrimoine génétique chromosomique à 50 % chacun. A partir de là, un être hu­main est conçu, l'embryon va se développer très rapidement. Et on ne pourra jamais dire qu'un être hu­main ne commence pas à son commencement.


Outre la grande importance de cette fonction pour notre descen­dance, on peut aisément concevoir qu'elle n'a pas besoin d'avoir à son service unique toute une glande endocrine qui a, de plus et en tant qu'endocrine, le pouvoir d'agir sur le corps entier et non pas sur la seule sexualité. Peut-on dire alors que la génitale est la glande de la sexualité ? On peut dire non. Certes, la sécrétion génitale joue un rôle certain de maturation sexuelle au moment de la deuxième puberté vers l'âge de 12 ans. Mais son rôle essentiel va bien au delà. Pour le Dr Gautier, c'est la glande spécifique­ment humaine car elle agit éminem­ment sur l'équilibre, la volonté, le sens moral, l'intelligence, qualités qu'on peut contester aux animaux. Non que l'animal n'ait pas une gé­nitale endocrine, mais son rôle se limite à une simple fonction repro­ductrice, étant soumise à une alter­nance systématique selon l'état de rut ou de latence sexuelle (voir Vie Claire avril 85). Or l'Homme n'est pas soumis à cette alternance ins­tinctive. L'instinct, chez l'Homme. est remplacé par son - auto­détermination - c'est-à-dire sa li­berté. Et si, chez l'animal la pul­sion sexuelle est pré-réglée instincti­vement sans le pouvoir de s'y op­poser, chez l'Homme la "pulsion" sexuelle n'est pas un instinct indomptable mais une tendance sou­mise à sa liberté, à sa volonté et c'est précisément cette glande endo­crine génitale qui intervient chez l'Homme pour "incarner" la li­berté et le contrôle de soi, alors que chez l'animal, elle entérine au contraire son instinct inéluctable. Et cela suffisait à montrer solidement l'opposition fonctionnelle, chez l'homme comme chez l'animal, en­tre « sexualité » et glande génitale. En l'homme donc, pour Gautier, ré­side bien un fondement endocrinien à sa volonté c'est-à-dire à son pou­voir d'auto-détermination soit de li­berté. Dans ses travaux de synthèse le Dr Gautier allait confirmer ces vues jusqu'à les certifier scientifi­quement.

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Puissance de la génitale : volonté et équilibre

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Avoir découvert ces merveilleux mécanismes psychophysiologiques n'était pas pour autant un gage donné aux tenants du matérialisme. II est en effet inacceptable et faux de dire que nos facultés supérieures proviennent de nos glandes ; nous pouvons seulement dire qu'elles en sont les conditions nécessaires d'exercice, ce qui nous indique tangiblement que le corps et l'esprit sont indissolublement liés et qu'ils fonctionnent ensemble de façon har­monieuse et en « s'aidant » mutuel­lement pourvu que nous sachions soumettre aux lois naturelles qui régissent cette harmonie.


Précisément, si la génitale est bien la « glande de la volonté », c'est que son fonctionnement doit répondre à toute sollicitation de la volonté, dont nous restons les maî­tres absolus car que serait une vo­lonté dont la puissance d'exercice ne viendrait pas de nous-même, de notre choix propre ? Et le principal critère de cette volonté est et doit être le respect de la loi naturelle, de ce que Carrel appelait les lois de la vie. C'est en effet par l'exercice et la mise en action de notre volonté, suscitée dès le jeune âge par l'édu­cation, que nous déclenchons effec­tivement une excitation nécessaire, une poussée généreuse de la sécré­tion génitale endocrine. Celle-ci ré­pond donc, pour le Docteur Gautier, scrupuleusement à toute injonction de la personnalité aux prises avec son adaptation. Et en raison de la réver­sibilité totale des phénomènes psychophysiologiques, plus nous avons de volonté, plus vive sera notre gé­nitale endocrine (interstitielle) ; plus vive est notre génitale et plus nous serons aptes à être efficacement vo­lontaires.


Qu'est-ce que la volonté au point de vue endocrinien ? Elle est le pouvoir de réguler nos humeurs, de modérer nos instabilités et émotivités mais aussi celui d'exciter notre esprit et notre corps à produire un travail ou une action ; ce pouvoir est celui de la glande génitale. C'est par conséquent, comme l'a encore montré Gautier, la glande de notre équilibre. Nous sommes donc les propres artisans de notre équilibre à la fois mental et physique et nous possédons dans notre glande géni­tale interstitielle le moyen hors pair de le garder, de l'entretenir ou aussi de le perdre. La glande génitale est la garante insoupçonnée de notre valeur morale, intellectuelle et psychologique, tout comme celle de notre intégrité physique et émotion­nelle. Enfin la sécrétion génitale, par son grand pouvoir d'éclectisme, c'est-à-dire de choix adéquats à l'adaptation du moment, possède le pouvoir d'appliquer à nos aptitudes intellectuelles les sécrétions spécifi­ques nécessaires à la réalisation d'un travail précis : l'hypophyse pour des activités analytiques ou calculatrices, la thyroïde pour des idées imaginatives, la surrénale pour des questions d'ordre pratique, etc. Si l'on y réfléchit bien, on voit qu'il s'agit encore d'une application volontaire de nos sécrétions spécia­lisées selon les besoins du moment.

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Une sexualité en danger

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Si la sexualité implique naturelle­ment une communication, un rap­port avec un partenaire dans une re­lation d'amour, peut-on dire que les déviances sexuelles sont la sexua­lité ? En aucun cas on ne pourra dire que la masturbation est un acte de sexualité puisque non seulement elle n'est pas un acte d'amour mais elle est un simple égoïsme, c'est-à-dire son exact contraire. Nécessité de bien définir les notions afin qu'on ne mette pas si facilement sur le compte d'une simple forme de sexualité ce qui n'est qu'une dé­viance ou mieux un vice. Blanchir la masturbation nous semble relever du pire service qu'on peut rendre à un sujet, car non seulement elle ne relève pas d'une fonction que justi­fierait notre bonne adaptation mais encore elle crée dans l'organisme de lamentables effets moraux, psycho­logiques et intellectuels (1) parce qu'elle contribue à amoindrir nette­ment la puissance de la glande in­terstitielle et même à son atrophie progressive et inéluctable s'il y a habitude.


La question de la masturbation relève de la question de l'origine du plaisir sexuel. Nous sommes dans l'ignorance officielle à ce sujet alors que le Dr Gautier a éclairci cette question depuis fort longtemps. Sans en refaire ici la démonstration, le plaisir sexuel dépend entièrement de la glande thyroïde et de sa sen­sibilité fonctionnelle. Cependant des sujets thyroïdiens peuvent être frigi­des ou impuissants en raison d'un manque de réceptivité des tissus se­xuels aux hormones thyroïdiennes ; rien n'est simple dans le corps hu­main car tout y est équilibre. Ce qui pousse un sujet à la masturbation est l'attirance de la jouissance sexuelle. Certes, deux êtres de sexe opposé peuvent aussi s'unir, attirés seule­ment par une jouissance sexuelle ré­ciproque mais ce qui fait le réel danger de la masturbation est l'im­possibilité pour la génitale intersti­tielle de s'en trouver activée ou sti­mulée. Tandis que toute relation se­xuelle naturelle implique nécessaire­ment deux êtres qui se donnent l'un à l'autre dans une relation d'amour, au moins physique, dans la mastur­bation solitaire ou pas, il n'existe pas de relation, d'altruisme, de communication. Le sujet s'enferme en lui-même dans une jouissance égoïste dont la thyroïde supporte presque toute seule toute la dépense énergétique sans qu'il y ait un contre-balancement sentimental ou physique de la génitale endocrine. La masturbation met en cause une hyper-excitabilité de la thyroïde (avec tous les signes somatiques qui lui sont propres) et une excitation spécifique des tissus reproducteurs de la glande génitale. Elle produit en outre une hyper-émotivité perma­nente et une désadaptation aux cho­ses et aux êtres. Elle aboutit néces­sairement à un déséquilibre profond de la thyroïde qui finit par faire ca­valier seul en se défaisant peu à peu de l'influence régulatrice et volon­taire de la génitale interstitielle. La thyroïde finit par se « spécialiser » dans le fonctionnement de jouis­sance sexuelle en créant un appel quasi permanent à la jouissance qui devient alors un besoin, comme une drogue. La question de la drogue aboutit d'ailleurs exactement aux mêmes processus psycho-endocri­niens. La masturbation aboutit im­manquablement à la désadaptation et au déséquilibre psycho­endocrinien.

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La faiblesse de la glande génitale

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La question de l'homosexualité est un peu plus compliquée mais se ramène aux mêmes processus. L'at­tirance d'un sujet pour le même sexe ne relève pas tant d'un déter­minisme endocrinien absolu et iné­luctable mais d'une tendance contre laquelle un sujet n'a pas lutté lors­qu'elle s'est présentée en raison d'une thyroïde par trop active sur les organes génitaux. Tendance qu'il a peut-être même entretenue. Dans l'homosexualité avérée, il y a toujours, pour Gautier, faiblesse de la glande génitale interstitielle dont l'hormone procure les attributs se­xuels propres au sujet d'un sexe donné. La glande du plaisir sexuel est la thyroïde et c'est elle qui, sou­vent prédominante, fait découvrir très tôt au sujet l'excitation se­xuelle. Si l'éducation, la surveil­lance ou les vetos parentaux néces­saires — contrairement aux dires des Freudiens — n'interviennent pas pour contrer des manifestations « sexuelles » intempestives de leur rejeton, celui-ci pourra contracter des habitudes masturbatoires qui le poursuivront longtemps à son grand détriment.


Étant donné que le pic sécrétoire maximum de la thyroïde est dans la vie humaine à l'âge de 5 ans, c'est à ce moment-là qu'il faut surveiller les enfants, toutefois sans obsession particulière. Si de telles habitudes, apanage d'une vivace thyroïde dès le bas âge, se poursuivent, cette dernière va finir par masquer le dé­veloppement de la génitale intersti­tielle et nous aurons des sujets thy­roïdiens à faible génitale c'est-à-dire aux attributs de leur sexe émoussés : par exemple, garçon efféminé et au maniérisme provenant d'une menta­lité efféminée due à une thyroïde qui a fait cavalier seul c'est-à-dire qui s'est défaite d'une bonne influence de la sécrétion génitale. Selon le Dr Gautier, ces sujets, presque tou­jours masturbateurs finissent par trouver des compagnons ou des complices de leurs actes de plaisir et leurs relations homosexuelles ne confinent plus qu'à la jouissance se­xuelle. Une certaine sentimentalité contre nature peut accompagner ce genre de relation, mais elle ne suffît pas à préserver l'efficacité et l'inté­grité de la glande génitale qui ne s'en trouve pas renforcée mais amoindrie ; car la glande génitale nous porte naturellement vers' l'amour de l'autre sexe comme vers tous les amours sentimentaux non sexuels. La jouissance sexuelle ne fait qu'exciter et développer toute la partie reproductrice de la génitale (surtout chez l'homme) au grand dé­triment de la partie interstitielle endocrine. Au fond, les homosexuels sont des hypogénitaux interstitiels.


Lorsque des rapports hétérose­xuels ont lieu une fois ou l'autre, c'est généralement pour constater un échec retentissant car les condi­tions de jouissance ne sont pas les mêmes et impliquent des fonction­nements psycho-endocriniens un peu différents qui ne sont pas re­trouvés dans les rapports normaux, d'où échec. Les homosexuels ont alors tendance à se cantonner dans ce mode de relations et tournent à la misogynie car ils ont tendance à faire porter aux femmes la responsa­bilité de leur échec d'une part, et d'autre part leur faiblesse génitale les détourne d'un sexe opposé qui les déroute et auquel ils ne com­prennent pas grand-chose.


On peut dire que les déviances sexuelles en général, dès lors qu'el­les ne s'inscrivent plus dans la loi naturelle ne rentrent plus dans le domaine réel de la sexualité mais s'en éloignent au contraire très net­tement. Aussi devons-nous garder aux mots un sens exact et plénier car ces derniers désignent des réali­tés auxquelles nous devons nous soumettre harmonieusement sous peine de désadaptation, tandis que les mêmes mots employés pour ex­primer des déviances nous leurrent et mettent sur le même plan dé­viants et non-déviants. C'est la même erreur profonde qui a fait ac­créditer l'idée ancienne qu'entre fo­lie et génie il n'existait qu'une mince frontière. Et c'est encore l'approche psycho-endocrinienne des phénomènes humains qui nous inscrivent dans la réalité en nous montrant au mieux le chemin de la liberté comme celui de notre meil­leure adaptation à la vie.


C'est à partir de toutes ces décou­vertes sur le fonctionnement des glandes endocrines dans la person­nalité humaine, que le docteur Gau­tier conçut sa méthode de rééquili­bration psycho-endocrinienne à par­tir de l'énergie électrique à haute fréquence. Ces courants sont remarquables par leur action sur la glande génitale interstitielle qui en est vrai­ment stimulée au point de rééquili­brer profondément tout l'individu en quelques mois. Étant donné l'im­portance souveraine de cette endo­crine dans l'équilibre humain et sur la valeur morale et intellectuelle de l'individu, le Dr Gautier comprit que celui qui mettrait au point un moyen, une méthode qui contribue­rait à la stimuler, à la développer ferait faire un pas de géant à l'hu­manité, à la fois par la connaissance de l'homme qu'elle concrétise mais aussi par le moyen pratique qu'elle apporte à notre prodigieuse amélio­ration. Ce moyen, c'est la méthode Gautier par l'énergie électrique de haute fréquence qui va se mettre peu à peu en place en France et à l'étranger.

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Jean du CHAZAUD. La vie claire Janvier 1986

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